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La tribune de Women on Earth.

Réflexions, opinions, témoignages, récits, poèmes, histoires personnelles, billets d'humeur ou d'humour... WE ! write est un espace de lecture et de publication pour toutes les femmes ouvertes d’esprit, curieuses et naturellement en... verve.

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Récits
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06:00 am

Puede que capturar lo que ya no está sea dejar en los márgenes del papel el diagnóstico de algo incierto. Quizá buscamos en un objeto, o en un ser vivo ocupando un espacio, el significado de nuestro tiempo. La exhuberancia de ese paraíso temporal e inmediato es una carretera. Sólo están señaladas las rutas, nunca el tiempo que pasa. Extinguir nuestras vidas en un trayecto lineal. Una conducción automática y segura con un objetivo claro: la vig (...)

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Mallorca

Hay silencio en los límites de estas calles y el aburrimiento se filtra en las casas por los poros de las paredes blancas. La culpa no es de nadie, porque hay un influjo secreto que despierta el deseo de no decir ni hacer nada. Un marcador invisible ajusta el ritmo de mis pasos en el camino de vuelta a casa. Con esa arbitraria regularidad entra y sale una mosca en mi cabeza, pero ese zumbido no consigue liberarme del enredo de mis (...)

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Nina dans tous ses états.

Le bonheur, voilà simplement ce que voulais ressentir Nina en cette nouvelle année. Un bonheur qui la brûlerait de l’intérieur, un bonheur comme elle n’en avait jamais ressenti. Nina, jolie brune aux yeux clairs de presque 26 ans, jeune institutrice rêvait de nouveauté, de joie et de bonheur. Cette jolie brune était adorée de tous à commencer de ses élèves…Elle avait beaucoup d’amis, ses parents étaient très fiers de la femme qu’elle était dev (...)

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Avançons !

On vit a deux cent à l\'heure, on emmerde le malheur. On s\'aime comme des fou, sans ce soucier des loups, qui rodent autour de nous. On s\'attache et on voit pas le temps qui passe, jamais on ne se lasse. Tout s\'efface mais nous on laisse notre trace, nos marques et nos repères, notre route est faite, d\'embuche et de défaite, Mais on s\'en fou on le sait, on a les clés pour éviter Pour le meilleur et pour pire, on ira chérir l\'avenir, (...)

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Juste un enfant

Cette chanson, je l\'ai écrite à la suite d\'un reportage, que j\'avais vue lorsqu\'un nazi séparait une mère de son enfant avant de les abattre. Un enfant de pas plus de trois ans Qui avait des idées pleins la tête Grandir, s’épanouir auprès d’ses parents Vivre la vie, sa plus grande conquête Refrain: Un enfant avec des rêves Un enfant tout simplement Qui s’amusait, espérait Juste un enfant, un enfant Mais pour cette homme, (...)

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8. Livre 1. Anna morte ou vivante

LIVRE 1 ANNA, MORTE OU VIVANTE

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7. Petite Cendrillon

Que les heures avaient été douces au bord de l’Ilisseau, avec lui ! Heures volées à son service, heures pour lesquelles lui-même avait menti – déclarant à la Mère qu’il avait besoin d’une vestale pour faire son ménage, trois heures par jour. Et de jour en jour, ils avaient été l’un et l’autre envoûtés par le Calix. – J’aimerais tant le voir, répétait inlassablement Sergueï. – Impossible, c’est un Mystère, répondait invariablement Anna. Elle l (...)

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6. Ce qu'il me faut, c'est trouver une sorcière

Dix ans avant l’arrivée d’Ankh et Holinshed aux portes de la maudite cité de Zeikos, une jeune femme de vingt printemps était couchée en chien de fusil sur le sable clair d’une lande plantée d’arbres. Anna était nue, joue contre terre. C’était une jolie brune, fine comme l’ambre, blanche comme l’ivoire, aux longs cheveux emmêlés. Sur son flanc gauche était tatoué à l’encre sépia, verticalement de l’aisselle à la hanche, un cartouche égyptien qui (...)

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5. Dix ans avant

Dix ans avant l’anabase de la blonde, une femme brune d’une vingtaine d’années se croyait définitivement morte

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4. dormeur aimé

Ankh avait eu du mal à apprendre à dormir dehors, mais nécessité fait loi et heureusement, c’était l’été. Ankh était assez jeune pour croire à un éternel été, et assez naïve pour penser que son Anabase ne durerait pas plus que le temps d’un été. Elle avait un but : elle rejoignait sa colocataire. Ce n’était pas n’importe quelle colocataire. C’était une vestale du Calix Esclarmonde. Ankh n’avait jamais cru à ces histoires de Calix, mais elle éta (...)

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3. Ankh dormait

Ankh dormait enroulée dans une couverture rose parfaitement assortie au tapis de selle de son cheval. C’est à peu près tout ce qu’elle avait pu prendre au haras lors de son départ. La couverture était heureusement très chaude : douce à l’intérieur et cirée à l’extérieur. Sinon, tout son bagage se résumait à des couverts jetables en plastique, un petit bol également en plastique, où elle préparait ses herbes à la bouillie d’insectes pilés, sa bout (...)

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2. Ankh n'avait jamais connu de tremblement de terre

La jeune femme blonde qui descendit de cheval n’avait jamais connu de tremblement de terre. Sous le regard brûlant que les sculptures de deux géants abritaient mal dans les plis de leur capuchon, Ankh franchit l’arche de pierre qui marquait l’entrée de Zeïkos. Elle se dirigea vers le bureau d’accueil, porte A (Maintenance et Gestion de l’Ouverture et Fermeture des Portes de la Cité de Zeïkos-La-Dorée). Elle demanda en français un passeport pour (...)

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1. Une femme blonde

Une femme blonde d’une trentaine d’années se trouvait aux portes de Zeikos-la-Dorée

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Je ne me définis pas

...pas par des labels, je veux dire. Je suis une fille hors-norme, toujours été différente.Je viens d'une famille "bien" comme on dit.Il y en a qui m'ont envié cela parfois, mais une famille "bien", ça cache parfois des choses. Gratte un peu le vernis et c'est pas toujours si beau. Les familles "bien", c'est parfois une énorme illusion.Les autres me croyant privilégiées, s'ils avaient su mais bon de toute façon, j'étais bien trop fière e (...)

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VOYAGE EN TRAIN

Un voyage en train nous amène à lire, dormir, écouter de la musique... Cette fois-ci j’écrirais. Au fil d’un paysage, qui dans la nuit tombante, n’est qu’une forme qui laisse des traînées derrière lui. 24 images secondes. Un film par la fenêtre... L’heure où mon stylo en main, dans le trémolo d’un train qui tremble mon écriture. Cette heure est celle que je préfère. Mi-soleil, mi-lune. Le premier s’en va gaiement réveiller quelques rizièr (...)

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FENÊTRES

De mes yeux j’observe ces lucarnes encastrées. Ces vitres cernées de bois. Ces verres qui me séparent de 1000 et une vie. Je devine les cœurs qui battent, je sens les souffles. Étalage de vitrines sur huit étages. Hublots de passage vers un espace qui n’est pas le mien. Je m’y perd et fantasme. Je rêve et tente de saisir ces vies aux 1000 et une différences. Vertige. Ces 1000 et une vies derrières leurs vitres cernées de bois. A quoi pe (...)

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Le Silence de l’araignée

LES EDITIONS L’HARMATTAN présentent DARFOUR Le Silence de l’araignée De Fabienne Le Houérou Tout le monde parle du Darfour mais bien peu de gens savent où se trouve cette province de l’Ouest soudanais, et encore moins parviennent à comprendre le drame humanitaire qui se joue dans cette région. On parle de génocide sans trop connaître ni les définitions exactes du mot, ni les enjeux réels. Pourquoi des miliciens arabes exécutent dans d (...)

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brêve de scrabble 6

A sa dernière visite, j'avais fui. S'en était fini de sa serre acérée sur ma vie. Lui qui me mima si bien l'amour, me brima, me roua et m'éclopa pour toujours. Après avoir manqué me noyer sous les eaux j'eus le nez de chercher un abri en haute terre pour qu'enfin je dorme. La buée séchée de mes yeux le soleil inondait mon corps nu dans les foins coupés. Les cris à gorges fêlées de quelques jars me semblaient moins féroces que l'assaut répété (...)

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Terra Incognita

Une chose est sûre, la position horizontale modifie la pensée. Immobile, le champ de vision rétréci, j'ouvre les yeux vers l'intérieur. Peut-être est-ce l'infirmité même passagère ou la douleur extrême qui au détour d'une expérience narcoleptique rend le voyage insaisissable. Inversement aux cris ou fracas environnants mon corps s'emplit de calme, s'enivre de reconnaissance et répare le mental à jamais sevré de la haine. Comme (...)

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Può bastare

Michela va di corsa stamattina: bancomat, spesa, bollette da pagare. Cammina spedita per i corridoi del centro commerciale ed ecco che lui spunta all\'improvviso, facendola sussultare. È quell\'uomo che incontra tutti i giorni davanti alla scuola di sua figlia, un papà in attesa come tanti altri. Ma lei lo ha notato, è il suo tipo: sguardo profondo e bel sorriso. L\'anno precedente, si erano scambiati dei cenni di riconoscimento, dopo aver cond (...)

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Sorres (estratto)

La prima cosa che sentì fu il sangue che, caldo, si mischiava alla saliva. Deglutì, e quel sapore dolciastro, ferroso, le fece salire un gradino sulla scala della coscienza. Istintivamente, con la lingua, controllò che i denti fossero a posto. Sì, c’erano tutti. Solo allora le arrivarono, come attraverso dell’ovatta, i suoni. Lentamente, un cinguettio d’uccelli si fece spazio nella sua mente. Aprì gli occhi. Vide il pavimento in terra battuta s (...)

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Sorres (estratto)

La cena era andata benissimo. Avevano riso, mangiato, discusso come non le capitava da tanto. Avevano perfino guardato e commentato le foto fatte ai murales. Lei per tutta la serata si era sentita particolarmente allegra e rilassata. Forse si era concessa qualche bicchiere di troppo, ma il vino che aveva portato Franco era veramente delizioso. Comunque non è che fosse sbronza, per carità, solo un po’ su di giri. E le piaceva veramente lasciarsi c (...)

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Sorres (estratto)

Finita l’ispezione guardò l’ora, pomeriggio inoltrato. Mancava qualche ora alla mungitura serale. Immaginò Teodoro ancora al lavoro. Era passato un po’ di tempo dal loro ultimo incontro ed erano anni che non andava a trovarlo in campagna. Chissà che faccia stupita avrebbe fatto. Richiusa accuratamente la rastrelliera uscì da casa tirandosi il portone alle spalle e salì in macchina dirigendosi verso il suo ovile. La gran parte dei terreni di Teod (...)

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Sorres (quarta di copertina)

Un’amicizia dai sentimenti intensi che accompagna la vita di tre donne. Un patto violento e scellerato che lega indissolubilmente tre uomini. Una sola vicenda che, nell’intreccio delle loro vite, racconta di violenza contro le donne e di coloro che la rendono possibile. Su tutto, la protagonista, che lotta caparbiamente per opporsi ad un destino che la vorrebbe vittima. Un romanzo dal ritmo sostenuto che guida il lettore verso una sorprende (...)

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Le gemelline

Erano distese vicine sul letto nella grande soffitta, e si scervellavano cercando il modo migliore per vendicarsi della zia. Quell'arpia le aveva messe in punizione un'altra volta solo perché avevano dato al loro antipatico cuginetto la lezione che si meritava: incollarlo alla sedia era il minimo, visto come le trattava. Ma lui in fondo non faceva altro che imitare sua madre: era lei che le considerava le sue servette ed era sempre nervosa perché (...)

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Pensare a lui

Non riesco a fare a meno di pensare a lui. E non capisco come può ancora succedere. Dopo tutto quello che è accaduto. Dopo che si è dimostrato palesemente e senza ombra di dubbio che non gli interesso minimamente. Non perché è sposato. Non si è fatto nessuno scrupolo a sedurre quell'altra. Non potrò mai dimenticarmi quella cena aziendale: stavano per andarsene via insieme, era palese, era stato palese durante tutta la cena. Solo piccoli dettagli: (...)

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Casalinga forzata

Sono le otto del mattino. Il resto della famiglia è appena uscito di casa, ognuno a fare il proprio dovere quotidiano. Seduta al tavolo della cucina, la mamma-laureata-disoccupata-casalinga forzata è ancora in pigiama. Tenta di ricordare cosa si fosse prefissata di fare questa mattina, ma proprio le sfugge. Lo sguardo corre sulla fila ordinata di film in DVD sotto il televisore, ma poi passa oltre. Guardare un film, già visto troppe volte, alle o (...)

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Era diverso

Era come noi: ogni giorno faceva le stesse cose che facevamo noi, andava negli stessi posti, incontrava le stesse persone. Eppure era diverso. In principio non ce ne eravamo accorti, le sue stranezze ci sembravano buffe. Non è facile spiegare cosa aveva di strano: era privo di espressioni, una sorta di rigidità dei muscoli del viso. Ora che ci penso, anche i movimenti del suo corpo erano un po' rigidi. Ma era così simpatico! Le sue battute sarcas (...)

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Suona la sveglia

Suona la sveglia, sono le sette. La spengo, mi alzo, faccio pipì. Vado in cucina, preparo il caffè. Do i croccantini al gatto che miagola. Yogurt e cereali. Scorro i giornali su internet. Guardo l'orologio appeso in cucina: le sette e trenta. Mi lavo e mi vesto, rassetto il letto. Sono le sette e cinquanta ed esco di casa, anche il gatto. Salgo in macchina e mi immetto nel traffico. Alle nove siedo alla mia scrivania. Scambio “buongiorno” e conve (...)

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Mad or creative ?

Like many,I'm always so busy.I homeschool,I write,I'm passionate,meaning there's always something that drives me or compels to have a good rant(on paper). I have 2 gorgeous,lovely,bright children who constantly require my attention.We also bake,cook,experiment..A lot of fun,but it can be totally exhausting. When I go to bed,I still have so many ideas swirling in my head,I find it really hard to switch off.I lay there,dog-tired,wishing for sle (...)

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